{.Artemis Gray Evans

VOUS !

NOM : Gray Evans
Prénom : Artemis
Autre(s) prénom(s) : Surnommée Arty
Age (entre 13&18 ans) : 15 ans
Féminin ou Masculin : F
Nationalité : Anglaise. Mais un quart de sang Japonais
Élève, professeur ou membre du personnel : Élève

Description physique :Artemis est une jeune fille de taille… Plutôt petite à vrais dire… Ce retard de croissance lui à souvent des moqueries, mais ceux-là ne se sont pas moqués bien longtemps. Hé oui, même si la jeune fille à l’air faible avec sa taille de naine et son poids plume, elle n’en reste pas moins très musclée. Ses dimensions font d’elle une personne rapide et agile qui vous fera ravaler vos mots. Plate comme une planche à repasser, son corps à l’air de ne pas être sortis de l’enfance, ce qui fait que peu de gens se méfierons de cette demoiselle.
Son visage à des trais très fins, et moins enfantins que son corps. Prés de la moitié de sa figure est mangé par deux grands yeux d’un rouge flamboyant, prunelle de rubis dont le regard à la « Tu me cherches tu me trouves » peut décourager bien des gens de l’attaquer. Sa peau est très pâle, fine comme du papier de soie, les rares mains qui ont déjà eut la chance de la caresser l’attesterons : il n’y à que peu de choses aussi douces.
Artemis possède de magnifiques cheveux. Longs jusqu’à ses genoux, d’un rouge tout aussi flamboyant que ses yeux, on à parfois l’impression de voire une flamme quand Arty passe devant vous en courant. La plupart du temps, la demoiselle laisse ses cheveux détachés, mais, par soucis pratique ou esthétique, il arrive qu’elle se les attache en une longue queue-de-cheval ou en deux couettes de chaque côté de son crâne.
Artemis est souvent habillées avec une sorte d’uniforme de lycée, de couleur kaki avec des boutons dorés, quand elle veut être discrète, Arty rajoute sur son uniforme une grande cape noire. Quand elle n’est pas habillée comme ça, elle aime porter des choses colorées, et inhabituelles.
Description morale :Artemis est quelqu’un d’un peu « spécial » Elle s’énerve facilement face a des futilités mais sait garder son sang froid face a un ennemis. Elle est très lunatique et l’on a du mal à la cerner. Souvent peu sérieuse, elle fait souvent usage de l’ironie et autre humour plutôt spécial qui ne fait pas vraiment rire tout le monde. Artemis est une pille électrique vivante. Elle déborde de vie et de liberté.
La jeune fille reste bonne dans la plupart des domaines intellectuels, mais, ce n’est pas ce qui nous intéresse.
Artemis et bonne vivante, gourmande et parfois peu brusque, mais elle reste chaleureuse une fois que l’on la connaît bien.
Insolente et sure d’elle, elle déteste que l’on la vouvoie et tutoie les gens dès leur première rencontre, elle donne souvent des diminutifs ou des surnoms aux gens pour faire plus cours. Artemis s’emporte souvent, lançant des lames à tout bout de champ dès que l’on l’énerve. Mais, elle reste câline et aime que l’on la serre dans ses bras, bien qu’elle ne l’avoue jamais.
Chose a ne pas faire : la réveiller le matin. En effet, elle est adepte de l'écrasage de réveil ou de lancer d'oreiller dans la face. Son mode de vie est très décalé, elle se couche tard et par conséquences, fait pas mal de grasses matinées.
Selon les jours, elle peut se montre comme une véritable flemmarde je-m'en-foutiste.
Bien qu’affichant souvent un air un peu renfrogné, donnez lui un but et une raison de l'atteindre, et elle feras des étincelles... Cette envie de faire toujours mieux peut la faire passer pour une tête brulée, ce qui ne plais pas forcement à tout le monde. Cependant, même si son agresseur est plus grand et plus musclé qu'elle, elle se battra jusque au bout, même si la partie est perdue d'avance. Heureusement pour elle, elle à une cicatrisation à toutes épreuve, ce qui lui évite de rester trop longtemps dans les odeurs de l'infirmerie.
Sportive et ne voulant pas négliger ses devoirs (On se demande d'ailleurs quels sont-ils) , elle s’entraîne tous les jours pour en foin pouvoir protéger ceux qui l’on protégé. On l’auras compris, elle est très attachée aux promesses, et vous pouvez être sûr qu’elle ne trahira jamais ses serments. Elle donne beaucoup d’importance dans son honneur, ainsi, elle peut vous faire la tête pendant plusieurs semaines si vous la ridiculisez et ne s’abaissera pas à faire des excuses non dues.

Biographie : -Moi ? Mon… Mon histoire ? Hum… Soit… Mon nom est Artemis Gray Evans. Je suis née un 31 octobre, un jour d’automne monochrome, gris. La seule touche de couleur à parait-il été mes cheveux, ou du moins la touffe de poils que j’avais au sommet du crâne étant nourrisson. Ma famille étais riche, très riche, trop riche. Bien que de nombreuses sages-femmes, nourrices, institutrices, préceptrices m’aient suivie depuis le jour de ma naissance, j’étais seule, tout le temps. Pensant qu’il suffirait de m’offrir assez de jouets et de bijoux en plastiques pour que je reste calme, mes parents m’avaient abandonnée. Seule dans ma tête, seule dans ce manoir pourtant semblable à une fourmilière, je passais mes journées silencieuse, assise telle une poupée désarticulée parmi des dizaines de peluches aux yeux vides, tout comme mon esprit en ces moments-là. Quand vint le moment de m’instruire, je n’eus même pas l’occasion de côtoyer les autres enfants, on ne fit que me laisser en compagnie de femmes sévères au chignon séré, malgré mon aversion pour les matières qu’elle m’enseignaient, je me montrais élève appliquée. Normal après tout, je n’avais que ça à faire… Ces femmes coincées s’extasiaient donc sur ma mémoire et mon sérieux… Mais, même les longs cours que je subissais chaque jour, je n’arrivais pas à tromper mon ennui. Alors, immobile devant la baie vitrée, j’observais les alentours, prêtant une grande attention au rythme des saisons. Le printemps étais humide, gris, loin de la saison des fleurs que l’on montrait dans les livres d’images, l’été étais brûlant, et remplis d’insectes qui suçaient mon sang sans que je ne leur apporte une quelconque résistance. L’automne n’étais qu’une copie du printemps, gris, marron aussi. Quand à l’hiver, c’est à peine si je le voyais passer, pour moi, c’étais juste quelques jours où la pluie devenais plus froide et plus pure.
Les seules occasions où je voyais mes parents de près, c’étais pendant les réceptions qu’ils organisaient fréquemment, là, en fille bien élevée, je mettais une robe tarte, du genre rose à frou-frou et je déambulais dans la salle avec un plateau d’amuse-gueule. Je souriais et répondais aux questions que l’on me posait avec innocence. Malgré tout, je sentais que les gens avaient des doutes… En m’éloignant, j’entendais des murmures, chuchotements que j’aimais écouter, qu’ils soient positifs ou non.

« -Elle est un peu petite pour son age non ?
-Mais il paraît qu’elle est d’une maturité exemplaire…
-Quand même, regardez là, ses cheveux et ses yeux sont étranges non ?
-Oui, Ni son père ni sa mère n’en possèdent de pareils… »

La seule personne qui voulait bien passer du temps avec moi étais Sayako, ma gouvernante. Attentionnée, elle comprenait mon ennui et m’emmenait donc régulièrement me promener, C’est avec elle que je trouvais Nashi. Je me souviens… Alors que nous passions devant une ruelle sombre, mon regard avais été attiré par une tache claire dans l’obscurité.

« -Hé, hé ! Sayako ! Regarde là le chat !
-Artemis… Il n’y a pas de chats, ce doit être ton imagination… Ne va pas dans ces poubelles ! »

Malgré tout, j’avais lâché sa main pour m’enfoncer dans les ténèbres de cette petite impasse. L’air y étais vicié, mais, j’y allais tout de même. En ce lieu, entre une poubelle et un vieux matelas, il y avait une peluche de chat, pitoyable. Malgré son sourire et ses rondeurs, la peluche dégageait une tristesse presque palpable. Taché, déchiré, Nashi ressemblait à un torchon, pourtant, comme hypnotisée par ce jouet, je m’en saisis avant de revenir vers Sayako. Elle essaya bien de me dissuader de prendre cette chose comparable à un déchet, mais, je tins bon et le ramenai avec moi. Une fois à la maison, je le lavai, le recousis, lui changea son rembourrage en éventrant mon oreiller… Certes, n’ayant que sept ans à cette époque, ainsi, j’ai encore quelques cicatrices au bout des doigts, témoignage de mes déboires avec la tyrannique aiguille, mais, à force de persévérance, la peluche repris une apparence acceptable. Dés lord, je l’emmenais partout avec moi.
Hélas, comme l’avaient fait remarquer bon nombre de gens, ni mon père, ni ma mère, ni personne dans la famille des Gray Evans n’avait de cheveux vermillon tels que les miens. Alors que j’avais treize ans, le pot aux roses fut découvert. Apparemment, ma mère avait fréquenté un homme, et, très vite, elle s’étais retrouvée avec un enfant. Affolée, elle avais fait mime que l’enfant venais de son maris et avais rejeté l’homme aux cheveux rouges, lequel avais disparut dans la nature… Horrifié par cette découverte, Mon père nous chassa de la maison ma mère et moi. La pension qu’il nous versait frôlait le ridicule et, nous habitions donc pauvrement. J’étais comme qui dirait passée d’un extrême à l’autre. Humiliée, ma génitrice finit par se suicider un an plus tard. C’est moi qui l’ai découverte. Dans sa honte, elle avait dû chercher le moyen de souffrir le plus possible avant de mourir, son visage étais figé dans un rictus de douleur intense et le sang maculait la pièce. Cet épisode aurait dû me traumatiser, si j’avais été une enfant dont la mère s’étais occupée, si j’étais une enfant qui pouvais appeler sa mère maman et non pas « mère »…
On me renvoya chez mon père, non, mon « beau-père » qui ne souhaitait apparemment pas que cette enfant qui n’étais pas de son sang habite chez lui et dépende de son argent. Ainsi, il me plaça dans un collège public. Je n’y restais pas longtemps, mon enthousiasme pour les études étais retombé et mes notes devenaient mauvaises. Finalement, il décida de me mettre en pension. Ainsi, il n’aurait pas à supporter une prolétaire sous SON toit. Il me prit un aller simple pour le nord de l’Angleterre et m’envoya à la gare en taxis.
Je me souviens, juste avant de prendre le train, j’ai failli tomber sur la voie 9, alors qu’un train arrivait. Là, un inconnu m’a attrapé le bras et, d’un habile mouvement de balancier, il m’avais repoussé sur le quais, inversant nos places. Je me suis retrouvée assise sur le goudron et lui en suspend devant la locomotive... Le temps s’est arrêté, j’ai vu ses lèvres bouger…

« -Adieu… »

Touche « On », le film reprend, j’ai juste le temps de voir mon sauveur me sourire avant l’impact avec les quelques tonnes du train… C’étais un homme aux cheveux rouges…

END


Précision : Nop~

VOTRE PELUCHE !

Prénom : Nashi
Féminin ou Masculin : M
Race : Chat... Ou du moins, ça y ressemble

Description physique : Nashi est un Chat. Ou du Moins, c’est sensé en être un. Et oui, avec son corps rond comme un ballon, ses pattes minuscules et ses marques rouges sur la figure, il ressemble plus à un Manekineko des temples Shintoïstes Japonais qu’a un véritable félin.
Le nom de cette peluche signifie « Poire », mais, en le voyant, on le décrirait plus comme une pastèque, avec un gros pamplemousse posé dessus en guise de tête. Les dimensions de cette « chose » sont plutôt grandes. Faites un rond devant vous avec vos bras… C’est bon ? Maintenant, resserrez ce cercle pour que le bout de vos doigts dépliés arrivent au creux de vos coudes. Et voilà, ce cercle fait approximativement la taille du corps de Nashi.
La couleur de cette peluche est le blanc cassé, tirant un peu sur le blanc crème. En plus des petites marques rouges (deux arcs de cercle sous chaque œil et trois petites virgules de chaque côté de la tête…) Sur sa figure, Nashi à sur le dos deux bandes de couleurs respectivement orange et grises qui vont du sommet de sa tête à la base de sa queue.
Le pseudo-félin à la plus part du temps les yeux mi-clos et un sourire jovial sur la face, ce qui lui donne un air sympathique… Mais, sous ce masque de gentil mimi, la bête est assez égoïste.

Description morale : Bon… Il faut l’avouer, sous son apparence innocente, le chat peut se montrer très #BEEEEEEP#. Désolée pour le terme peu élégant, mais c’est la pure vérité. Aimant faire tourner les autres en bourrique, il aime tyranniser les plus faibles que lui... Mais, d’un naturel tout de même lâche, il s’enfuira au cas où les choses ferreraient mime de tourner en sa défaveur. Contrairement à Artemis qui tient ses promesses jusqu’au bout, Nashi ment assez souvent, même si ces mensonges sont souvent assez grossiers… Assez porté sur l’alcool et la bonne nourriture, l’animal est assez fainéant et cupide.
Malgré ses défauts, Nashi reste tout de même une peluche fidèle, qui accompagne ra Artemis jusqu’au bout. Si il se fiche totalement de ce qui peut arriver aux autres, il change quand ça concerne Arty, qu’il garde comme un papa poule, devenant même anxieux au cas ou il lui arriverais la moindre broutille. Possessif, il aimerait garder Artemis tout le temps à ses côtés et ne jamais la voir le délaisser. Ainsi, il fera le maximum pour la garder loin des autres humains, qu’il juge idiots. Ce naturel conservateur est l’une des principale cause de dispute entre les deux entités, Arty allant de l’avant et voulant connaître les autres, et Nashi souhaitant la garder auprès de lui. En fait, ce Nashi Parmentier #PAN# à surtout peur qu’Artemis l’abandonne.



Rencontre/Biographie: J’ai été abandonné. Fabriqué dans un petit atelier artisanal, celas fait longtemps que je suis là… Au fond de cette impasse, à côté de l’église, entre une poubelle pleine à ras bord et un matelas défoncé. Je me souviens, j’avais été volé par un petit garçon, un petit humain que j’avais vu très souvent passer devant la vitrine où j’étais exposé. Finalement, un jour, il était entré, seul, en veillant à ne pas faire tinter le carillon de l’entrée. Il avait fureté pendant quelques minutes dans le magasin, sur la pointe des pieds, puis, s’était tourné vers moi. Il m’avait regardé pendant de longues secondes, puis, le propriétaire de l’échoppe étais entré dans la pièce.

« -Bonjour Jeune homme, vous dési… Hé ! »

L’enfant m’avait empoigné, m’avait serré contre la poitrine puis avait passé la porte en courant. Il avait couru longtemps, au début il avait été suivi par le commerçant, mais, le vieil homme n’étais plus en age de courser les gamins. Le garçon étais tombé plusieurs fois, me maculant de poussière, mais, finalement, il avait pris une savonnette dans une cabane qui semblait être sa maison, et, il m’avait lavé avec soin dans un ruisseau non loin de là, se gelant les doigts par ce triste mois de novembre.
Ensuite, il m’a parlé, pendant de longues heures. Je ne comprenais pas tout, sa voix n’était qu’un murmure embrumé par des sanglots. « Maman », « Malade », « sauve », « …te plais », « médicaments », « argent »… C’étais ces mots qui revinrent le plus souvent. En réfléchissant bien, il étais clair que le gamin me demandais de sauver sa mère, malade, et dans l’incapacité de se payer des médicaments. Mais, moi, Je suis une peluche, même si j’aurais bien aimé aider ce petit d’homme, j’en étais dans l’incapacité.
Pendant deux ans, le petit garçon continua de me demander de sauver sa maman chérie… Mais, deux ans après mon vol, il m’emmena dans la ville, puis m’abandonna. Il pleurait toutes les larmes de son corps, il me lança dans une poubelle pleine, puis m’insulta copieusement. M’accusant de ne pas avoir pu sauver sa mère. C’est beau l’insouciance des gamins qui croient que nous sommes des dieux incarnés dans un amalgame de tissus… Désolé petit, mais ta mère, si tu voulais que je la sauve, tu aurais mieux fait de me vendre pour acheter des médocs. De mon impasse, je voyais le ciel si gris… C’était finis, peut-être resterais-je pour l’éternité entres ces poubelles…

« -Hé, hé ! Sayako ! Regarde là le chat !
- Artemis… Il n’y a pas de chats, ce doit être ton imagination… ne va pas dans ces poubelles ! »

Une petite fille me saisit, ses cheveux rouges contrastants avec le pâleur de son visage. La petite me soigna, ou plutôt : me recousis, me remis du rembourrage, me lava avec une lessive sentant la lavande… J’étais de nouveau une peluche digne de ce nom…
Merci, Artemis… J’ai été si longtemps abandonné, ne me laisse pas tomber toi aussi…


Esprit animal : Un shaaa ! #PAN#
Caractéristiques animales: Hum... Son poids ? c'est pas mal pour lancer... Sinon, il sait se montrer discret... Quand il veux....




Code : Wé (Jun)
Age : 13 ans
Comment avez vous découvert le forum ? Attend voir... Avec le forum Sos
Et, comment le trouvez vous ? Superbe design, histoire toute choupie <3

Bienvenue parmi nous Artemis !

Alors, le code est bon. :3
Ensuite pourrais-tu corriger les quelques fautes qu'il y a, surtout gents car c'est gens ^^
Et par la même occasion, trouver un autre terme pour le mot dans la deuxième ligne de la description morale de Nashi éwè.
Et pour les caractéristiques animales, c'est la vitesse... Enfin, des choses comme ça x)
En tout cas j'aime bien la fin de ta biographie.


Merci, Jun'


PS: c'est quoi la police du texte "Artemis" sur ton nainvatar s'il te plait ?

Walaa~ Techniquement, c'est bon ! Normalement, c'est passé au word...
La police, c'est "Mutlu" pour la première lettre et "Sell Your Soul" pour la deuxième.

C'est bon sauf que dans les caractéristiques, j'ai pas bien compris pour "son poids" xD.
Merchi pour les polices *cours sur dafont*

Ben l'est très gros lourd donc, se le recevoir sur le tête.... #BAKA#
Parce que sinon, c'est dur de trouver un truc bien dans ce gros plein d'soupe u.u
Heureuse de t'avoir été utile !

D'accord, don ça ira =)

Bienvenue! : D

Merci tout le monde =)

Bienvenue

Je déplace :3